ORFEO ED EURIDICE | LES PASSIONS CROISÉES




Offenburger Tageblatt — Bettina Kühne
« Le contre-ténor Léopold Gilloots-Laforge dans le rôle d'Orfeo a brillé dans ce rôle de prédilection et a dominé toute la représentation de l'opéra. Avec des chants amples et parfaitement interprétés, il a représenté la plainte débordante sur son destin tragique et plus tard sa joie éruptive. »
Resonances Lyriques — Marie-Thérese Werling
« Dans le rôle-titre, le contre-ténor Leopold Gilloots-Laforge a interprété un Orphée avec beaucoup d'émotion et d'humanité, tant par sa gestuelle que par sa voix homogène, empreinte de gravité et de profondeur. »
DNA
«Quant à Leopold Gilloots-Laforge, il a livré un Orphée incandescent, tant par sa présence scénique que par la couleur de son timbre de contre-ténor.. »
IL NERONE (LE POÈME HARMONIQUE-OPÉRA DE PARIS & DE DIJON)




Le Monde — Marie-Aude Roux
« Second contre-ténor amoureux de Poppée, qu’il tentera d’assassiner sur ordre d’Octavie, l’Ottone de Léopold Gilloots-Laforge est d’une grande justesse de ton et de style. »
Forum Opéra — Brigitte Maroillat
« Leopold Gilloots Laforge campe un Ottone à la voix ronde et chaude, riche en harmoniques, très subtilement nuancée, à la manière de James Bowman. »
Le Figaro — Christian Merlin
« La magnifique basse profonde du Sénèque d’Alejandro Baliñas, la musicalité scrupuleuse et le grave charnu de Léopold Gilloots-Laforge en Ottone, la voix et la présence lumineuses de Martina Russomanno en Drusilla plaident pour le niveau de cette promotion 2022. »
Diapason — Loïc Chahine
« Chez l’Ottone de Léopold Gilloots Laforge, l’interprétation retenue fait souvent mouche ; tout comme celle de l’impeccable et charmante Drusilla de Martina Russomanno. »
BaroquiadeS — Jean-Luc Izard
« L’Ottone de Leopold Gilloots Laforge est également une très belle réussite. La voix est chaude, très homogène, conduite avec un sens affirmé des nuances. »
Opéra Online — Emmanuel Andrieu
« Leopold Gilloots-Laforge réitère son excellent Ottone, chaque fois plus assuré et varié dans ses inflexions. ».
TOSCA (OPÉRA BERLIOZ, MONTPELLIER)




Forum Opéra — Yannick Boussaert
« Les seconds rôles sont tous excellents notamment l’excellent berger androgyne de Léopold Gilloots-Laforge »
Olyrix — Joël Heuillon
« Léopold Gilloots-Laforge prête sa voix sombre et profonde (pour son registre de contre-ténor) au berger qui salue le matin du dernier jour. Il assume aussi scéniquement, avec conviction, le rôle muet du futur assassin de Pasolini. »
Resmusica — Jean-Luc Clairet
« Belle idée d’avoir convié le haute-contre de Léopold Gilloots-Laforge à incarner le berger-assassin de Pasolini. »
VOIX ÉTRANGES (OPÉRA D'AVIGNON-MUSICATREIZE)
Olyrix — Moisés Ordóñez Alarcón
Voix Étranges, Collégiale Saint-Didier, 2022
« Le jeune contre-ténor français Léopold Gilloots-Laforge au sein du chœur pour la plus grande part du spectacle, s’intègre aisément avec l’ensemble des voix, mais il sait également ressortir par son timbre ou des interventions solistes quand nécessaire. Sa ligne abondante et un timbre délicat sont assortis avec son charisme de professionnel, sa projection assurée lui permettant de se détacher avec une couleur triomphante. »
Classique en Provence — Geneviève Allène-Dewulf
Voix Étranges, Collégiale Saint-Didier, 2022
« Léopold Gilloots-Laforge est] une véritable charnière au centre de tous les pupitres, même permutés même mêlés selon les pièces ; une voix qui tantôt se marie et se fond dans l’ensemble, tantôt tisse clairement sa propre ligne .»
OPÉRA MAGAZINE



